APPEL A L’AIDE POUR LA  BRILLANTE PETITE FILLE BN’PENIN KONATE ET SON  ECOLE

 

 

 

Bn’Penin  est  une fille âgée de 13 ans. Elle habite avec ses parents dans le village de Siratougouma qui est situé à 65 Km de Bamako. A Siratougouma, il y’a une école. Cette dernière n’est cependant plus fonctionnelle en  raison  des difficultés.

 

Elle est pensionnaire de L’ECOLE DES JEUNES AVEUGLES ET NON-VOYANTS DE MISSALA sise à près de 120 km de son village. Compte tenu de la distance, en dehors des grandes vacances,  Bn’Penin KONATE ne rentre pas au village.

Elle n’est pas née non voyante.   Elle  a perdu la vue lorsqu’elle était devenue un peu grande (entre 7 abs et 8 ans) et qu’elle pouvait même faire certains travaux en toute autonomie.   Ses parents et membres de la famille ont cherché à connaitre la source de cette maladie. Mais personne n’a pu la découvrir.

La découverte de l’école de Missala a été un  réel soulagement pour les parents  de  Bn’Penin. Selon eux, une personne vivant avec un handicap  n’est pas considérée dans leur village. Elle est vue tout simplement comme une charge ne procurant aucune utilité. Elle   reste seule dans la concession abandonnée à leur propre sort.

Depuis l’inscription de Bn’Penin à l’école, elle a affiché un intérêt particulier pour les études et a  toujours fait partie des 2 premiers de sa classe. Cependant, la performance scolaire  de Bn’Penin risque de connaitre une baisse en raison des difficultés auxquelles est confrontée son école. Cette dernière  n’a pas de bibliothèque, ce qui rend les études très pénibles.  La brillante Bn’Penin  ainsi que les autres élèves aussi handicapés sont obligés de recopier les textes à la main en braille. Aussi, les enfants  devraient en principe passer les week-ends en famille mais cela ne se fait pas car l’école   ne dispose pas de voiture. Le salaire des enseignants, non-voyants pour la plupart,  connait  constamment des retards  de paiement.  Le montant des retards de salaire peut aussi aller jusqu’à 300.000f pour certains mois. Les matériels scolaires tels que les livres et les cahiers et calculatrices devant être utilisés par Bn’Penin et ses camarades handicapés se trouvent rarement au Mali.   Les kits scolaires  cités disponibles au Mali sont excessivement couteux.

Selon les standards,  l’école de Bn’Penin devrait avoir son propre internat permettant aux enfants de dormir la nuit et se rendent en classe dans la journée. L’internat de l’école dans lequel vit Bn’Penin  est en sentier appartient à quelqu’un d’autre.

L’école de Bn’Penin ne dispose pas d’infirmerie.  L’hôpital le plus proche est celui de Kalaban koro situé à 20Km de l’école.  Aussi, l’école ne dispose pas de pompe.  Elle a par contre un puits dont les eaux ne sont pas potables. Ainsi, les enfants mangent parfois des aliments insalubres.

 

 

Les difficultés pèsent également sur les petits enfants. Car un enfant, ça s’entretien. Et cet entretien se fait à l’école. Il n’a pas d’école. Les maladies sont plus fréquentes chez les enfants. Il n’a pas d’hôpital dans le village, l’hôpital est vraiment loin.

Sur 100 enfants, 80 n’ont pas d’acte de naissance. Lorsque nous avons besoin de papiers, nous allons à la mairie de Tourodo pour qu’il nous oriente.

Ils ont besoin d’aide et assistance. Et pour notre cela, il leur faudrait de l’éducation de qualité, des soins de santé, ainsi que de mobilité ajouté à leur subsistance.

 

 

 

 

 

APPEL A L’AIDE POUR LA  BRILLANTE PETITE FILLE BN’PENIN KONATE ET SON  ECOLE

 

 

Bn’Penin  est  une fille âgée de 13 ans. Elle habite avec ses parents dans le village de Siratougouma qui est situé à 65 Km de Bamako. A Siratougouma, il y’a une école. Cette dernière n’est cependant plus fonctionnelle en  raison  des difficultés.

 

Elle est pensionnaire de L’ECOLE DES JEUNES AVEUGLES ET NON-VOYANTS DE MISSALA sise à près de 120 km de son village. Compte tenu de la distance, en dehors des grandes vacances,  Bn’Penin KONATE ne rentre pas au village.

Elle n’est pas née non voyante.   Elle  a perdu la vue lorsqu’elle était devenue un peu grande (entre 7 abs et 8 ans) et qu’elle pouvait même faire certains travaux en toute autonomie.   Ses parents et membres de la famille ont cherché à connaitre la source de cette maladie. Mais personne n’a pu la découvrir.

La découverte de l’école de Missala a été un  réel soulagement pour les parents  de  Bn’Penin. Selon eux, une personne vivant avec un handicap  n’est pas considérée dans leur village. Elle est vue tout simplement comme une charge ne procurant aucune utilité. Elle   reste seule dans la concession abandonnée à leur propre sort.

Depuis l’inscription de Bn’Penin à l’école, elle a affiché un intérêt particulier pour les études et a  toujours fait partie des 2 premiers de sa classe. Cependant, la performance scolaire  de Bn’Penin risque de connaitre une baisse en raison des difficultés auxquelles est confrontée son école. Cette dernière  n’a pas de bibliothèque, ce qui rend les études très pénibles.  La brillante Bn’Penin  ainsi que les autres élèves aussi handicapés sont obligés de recopier les textes à la main en braille. Aussi, les enfants  devraient en principe passer les week-ends en famille mais cela ne se fait pas car l’école   ne dispose pas de voiture. Le salaire des enseignants, non-voyants pour la plupart,  connait  constamment des retards  de paiement.  Le montant des retards de salaire peut aussi aller jusqu’à 300.000f pour certains mois. Les matériels scolaires tels que les livres et les cahiers et calculatrices devant être utilisés par Bn’Penin et ses camarades handicapés se trouvent rarement au Mali.   Les kits scolaires  cités disponibles au Mali sont excessivement couteux.

Selon les standards,  l’école de Bn’Penin devrait avoir son propre internat permettant aux enfants de dormir la nuit et se rendent en classe dans la journée. L’internat de l’école dans lequel vit Bn’Penin  est en sentier appartient à quelqu’un d’autre.

L’école de Bn’Penin ne dispose pas d’infirmerie.  L’hôpital le plus proche est celui de Kalaban koro situé à 20Km de l’école.  Aussi, l’école ne dispose pas de pompe.  Elle a par contre un puits dont les eaux ne sont pas potables. Ainsi, les enfants mangent parfois des aliments insalubres.

 

 

Les difficultés pèsent également sur les petits enfants. Car un enfant, ça s’entretien. Et cet entretien se fait à l’école. Il n’a pas d’école. Les maladies sont plus fréquentes chez les enfants. Il n’a pas d’hôpital dans le village, l’hôpital est vraiment loin.

Sur 100 enfants, 80 n’ont pas d’acte de naissance. Lorsque nous avons besoin de papiers, nous allons à la mairie de Tourodo pour qu’il nous oriente.

Ils ont besoin d’aide et assistance. Et pour notre cela, il leur faudrait de l’éducation de qualité, des soins de santé, ainsi que de mobilité ajouté à leur subsistance.

 

 

 

 

 

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